Depuis plusieurs années, Laure chante ses troubles bipolaires depuis sous son pseudonyme « Mademoiselle Laure », renaissant en « Laurem ». La neurodivergence a marqué la généalogie de Laure. Elle porte donc dans sa chair l'histoire, la richesse, les traumatismes transmis par sa grand-mère et sa mère.

A l’occasion de la sortie de son dernier album, Laure m’a présenté son Paris sous forme de périple imaginaire où elle me confie ses souvenirs et ses visions. Ce voyage poétique trouve son point d’orgue dans l’aile psychiatrique de l’hôpital Sainte-Anne, où elle accompagne son deuxième fils, Anoé.

Cette série photographique se dévoile à travers le regard de son grand frère, Ounai, comme un conte qu’il aurait lu à son petit frère.

For several years, Laure has been singing about her bipolar disorder under the pseudonym "Mademoiselle Laure," before reinventing herself as "Laurem." Neurodivergence runs through her family history, leaving its mark on her through the legacy, richness, and traumas passed down from her grandmother and mother.

On the occasion of her latest album release, Laure took me on a journey through her Paris, an imaginary odyssey where she shared her memories and visions with me. This poetic voyage reaches its climax in the psychiatric ward of Sainte-Anne Hospital, where she accompanies her second son, Anoé.

This photographic series unfolds through the eyes of her older brother, Ounai, like a tale he might have read to his little brother.